20 juillet 2010

Empire Avenue

Avec l'avènement du Web 2.0, des médias sociaux tels que twitter ou Facebook, toute une série de site web ont vu le jour afin de tenter de prendre le train en passant! Certains réussissent bien, d'autres ne lèvent jamais vraiment assez pour devenir grand public. On a qu'à penser à Google buzz qui a connu des ratés dès son départ.

Je viens de découvrir le site Empire Avenue. C'est en quelque sorte, une sorte de jeu mais aussi, un site qu'on pourrait comparer à un Facebook. Le tout fonctionne comme la bourse. Lorsque l'on s'inscrit (on doit demander une invitation pour le faire, du moins, jusqu'à la fin de la beta, et pour les intéresser, j'en ai quelques-unes à distribuer), on nous attribue un montant fictif de départ que l'on doit investir dans les parts (actions) d'autres individus inscrits sur le site. Lors de l'inscription, on nous demande de faire un lien entre divers comptes que l'on possèderait sur d'autres sites sociaux comme, Facebook, Twitter, Flickr, un blogue, etc. Chaque site que l'on connecte est une ressource qui nous permet de faire fructifier notre valeur. Plus on twit, plus on commente ou agis sur Facebook, ou plus on blogue, comme je suis en train de le faire, et plus cela est pris en compte par Empire Avenue pour augmenter notre valeur qui est représenté en fait comme notre influence sur la toile. Plus notre influence augmente, plus notre valeur monétaire fictive augmente, et on fait donc fructifier les investissements que les gens ont fait en nous.

Une tactique est donc d'investir dans des gens dont on sait qu'ils ont une possibilité d'obtenir une influence considérable. Ou bien, on peut aussi investir dans les petits nouveaux et revendre dès que leur valeur tend à vouloir rechuter si leur influence ne se répand pas.

Tout cela a un but, s'amuser mais aussi, faire connaître notre nom, nos twits, nos blogues, etc. Car, plus on monte, plus les gens sont tentés de voir qui ont est, ce que l'on a à dire et donc, d'investir en nous.

Bref, si vous vous chercher des passes-temps amusants qui nous permettent en plus de comprendre les rouages de systèmes comme celui de la bourse, allez y faire un tour, et surtout, ne manquez pas d'investir dans les parts LETODN (les miennes).

À plus!!

01 décembre 2008

Viande synthétique, une voie d’avenir?

Je suis tombé sur cet article : http://terresacree.org/viandedelaboratoire.htm
De la viande de synthèse, que c’est bizarre… À voir les réactions sur le site en question, on dirait que l’idée ne sera pas très populaire auprès du grand public. Honnêtement, C’est vrai que ce n’est pas quelque chose qui semble très ragoûtant, on est probablement loin de réussir à élaborer un filet mignon tendre et juteux…

Cependant, en y repensant bien, je serais en faveur d’une fabrication de viande artificielle. Pensons-y un peu… La production de viande demande énormément de ressources et utilise une très grande superficie des terres arables de notre planète. Ceci a des conséquences importantes sur la production de gaz à effets de serre et la pollution par les déjections animales. D’autre part, la viande de synthèse, qui utilise des cellules vivantes, reste de la viande, du muscle, sauf que ça pousse sur un substrat au lieu de croître sur un animal. Celle-ci peut être produite en situation contrôlée et sanitaire, ce qui pourrait diminuer de beaucoup les risques de contamination au E. coli par exemple. De plus, nombreux sont les gens qui protestent contre la production animale, car elle implique nécessairement que l’on abatte des animaux…beaucoup BEAUCOUP d’animaux. Je suis convaincu que si tout le monde avait la chance d’aller visiter des abattoirs, beaucoup de gens deviendraient végétariens! Une production artificielle en usine ne mettrait aucune vie animale en danger…

Finalement, pour répondre au commentaire : « eurk! C’est dégueulasse ce truc! ». Et bien sincèrement, si vous mangez des saucisses à hotdog ou du poulet pressé, vous seriez apte à manger une viande de synthèse. En effet, je pense que ça pourrait être le premier marché à viser pour ce type de viande, tous les produits transformés, salés, épicés, etc. qui n’ont rien à voir avec une viande naturelle.

Probablement que les techniques devront s’améliorer pour réussir à développer de la viande qui contient autant de minéraux et protéines qu’une viande naturelle, mais je reste convaincu que cette avancée de la science pourra être très bénéfique pour notre planète à long terme.

Et ceux qui pensent qu’on « joue à Dieu » en faisant ce type de viande, je trouve qu’on joue beaucoup plus à Dieu en s’accordant le droit de vie ou de mort sur des animaux de fermes…

Des commentaires?

25 novembre 2008

La guerre de l’eau?

Ça m’agace d’entendre parler de la « guerre de l’eau » (comme par exemple dans l’article suivant : http://www.vigile.net/La-guerre-de-l-eau), cette guerre qui pourrait soit disant être la 3e guerre mondiale.

Oui il est vrai que de plus en plus de gens ont un accès limité à de l’eau potable de qualité. C’est aussi vrai que le Québec possède une des plus grande réserve d’eau douce eau monde et que plusieurs personnes ont l’œil sur cette ressource… Mais de là à en faire un guerre? J’en doute…

Pourquoi est-ce que j’en doute? Parce qu’il me semble farfelu de penser que l’on peut manquer d’eau sur la planète…bleue!

70% de la surface de la planète c’est de l’eau! Comment pourrait-on en manquer?!

Bien entendu, la majorité de l’eau est salée. Donc le problème n’est pas la quantité, mais bien la qualité (ou la salinité) et l’accès à la ressource.

Pour ma part, je crois que tout ce qu’on verra c’est un coût croissant pour avoir accès à l’eau douce et la commercialisation de plus en plus importante de la ressource. Mais imaginez le coût pour entamer une guerre. On voit les milliards que les américains ont engloutis dans la guerre en Irak, combien de litres d’eau peut on désaliniser à ce prix? Les technologies de désalinisation vont certainement s’améliorer avec le temps (et les investissements), ce qui rendra inutile n’importe quelle « guerre de l’eau ».

09 avril 2008

Chaînon manquant?


J'avais le goût d'écrire un beau petit article sur cette nouvelle grenouille qui n'a pas de poumons et qui a été découverte dans les jungles de Bornéo. Malheureusement, un début de rhume m'empêche de penser clairement alors, je préfère vous renvoyez directement à l'article en question qui est très intéressant!

Et maintenant, je vais allé soigner ce rhume afin qu'il se termine le plus rapidement possible!

04 avril 2008

Nuancer sans contredire!

En lisant le dernier article de Dan (mon hôte sur ce blog), « Le hasard ou la finalité? », j’ai cru bon chercher à préciser quelques petites choses qui ne vont pas à l’encontre de ce qu’il a mentionné, mais qui par expérience ont pu être source de confusion dans des débats entre créationnistes et évolutionnistes auxquels j’ai pu assister par le passé.

C’est sur la notion de « hasard » que j’aimerais revenir. Quand nous parlons du « hasard », nous référons à un processus totalement aléatoire qui donnera un résultat imprévisible. Les études statistiques permettent de faire des calculs de probabilité pour estimer les chances qu’un phénomène se produise. Ces ainsi que certains créationnistes comme ceux-ci en arrive à la conclusion que la probabilité que l’évolution se produise « par hasard » ou par un processus purement aléatoire serait de 10-484, c'est-à-dire 0.

Or, la question est de savoir si le processus de l’évolution des espèces est purement aléatoire… la réponse est non! En effet, nous ne sommes pas en présence d’un grand sac d’éléments chimiques que la nature brasse constamment pour soudainement en sortir un organisme complexe, la nature est plus sophistiquée que cela, elle « bricole ».

Dans un premier temps, il faut distinguer le rôle des mutations génétiques dans le processus de l’évolution de celui de la sélection naturelle. Les mutations sont effectivement un élément important de l’évolution des espèces, celles-ci se produisent de façon aléatoire et comme l’expliquait Dan, elles doivent être « sélectionnée » pour pouvoir se perpétuer au sein de l’espèce. Ceci peut donner un « boost » à l’évolution de l’espèce en la faisait évoluer de façon plus rapide sur quelques générations. Cependant, le moteur principal de l’évolution est la sélection naturelle. Cette sélection naturelle se produit continuellement par la simple fait que certains individus d’une espèce auront un succès reproducteur plus élevé dû à des caractéristiques physiques les avantageant (plus fort, plus rapide, plus joli (pensez au paon), comportement de survie plus adéquat selon l’environnement changeant…). Ces caractéristiques ne pas nécessairement issues d’une mutation génétique préalable mais elle font tout de même évoluer l’espèce.

Cette sélection naturelle se fait-elle donc par pur hasard? Non, bien entendu. Il s’agit du concept de « contingence » évoqué entre autre par le professeur Cyrille Barrette de l’Université Laval. En d’autres termes, on parle de hasard ET d’histoire, on traîne tous notre passé avec nous. Donc quand la sélection naturelle se met à l’œuvre, elle sélectionne des caractéristiques en fonction de ce qui est déjà en place, elle bricole avec les éléments disponibles. Il ne s’agit donc plus d’un processus parfaitement aléatoire, mais d’une certaine forme de « légaliberté ».

Donc pour en revenir à l’exemple des girafes, est-ce la résultante de mutations génétiques ou du mécanisme de sélection naturelle? Peut-être les deux, mais c’est la sélection naturelle des individus au sein de l’espèce ayant déjà un coup naturellement plus long qui leur a permis d’exploiter cette niche écologique d’une source de nourriture plus haute et difficilement accessible par les autres herbivores.

Comment perpétuer un mythe?

En titrant un article "Reptile remains found in oilsands resemble Loch Ness monster" ou en français, "Les restes d'un reptile trouvé dans des sables bitûmineux ressemble au monstre du Loch Ness" tel que trouvé dans un journal d'Halifax, le Chronicle Herald.

L'article traite de la découverte d'un fossile de reptile marin nommé Nichollsia borealis. Il s'agit d'un plésiosaure qui vivait dans la mer il y a plus de 100 millions d'année. Les ossements sont étonnamment bien conservés et surtout, ne sont pas écrasés comme il arrive souvent pour des fossiles marins. Le reptile a donc été retrouvé dans la position exacte où il est mort. L'article aborde le sujet de façon très sérieuse et rigoureuse.

Ce qui est dommage, pour un article du genre, c'est qu'en impliquant le terme "monstre du Loch Ness" dans le titre, on donne du crédit à ce genre d'histoire. Bon, est-il possible qu'une quelconque créature de ce type pourrait avoir survécu dans un lac en Écosse jusqu'à ce jour? Il est clair que je ne pourrais répondre de façon catégorique à cela surtout que dans le dernier siècle, nous avons aperçu des créatures, comme le coelocanthe que nous croyions disparu depuis des millions d'années. Cependant, à part quelques photos flous et une multitude de témoignage peu crédible dans l'ensemble, l'existence du monstre du Loch Ness n'a jamais été démontré.

Donc, le titre ne fait que perpétuer le mythe car, le commun des mortels qui n'a pas nécessairement les connaissances dans le domaine, croira tout simplement que le monstre du Loch Ness existe réellement puisqu'on y fait référence dans un article sérieux sur les restes d'une créature marine. De plus, on ne dit pas ici que Nessie (c'est le nom que l'on donne au monstre du Loch Ness) ressemble à un plésiosaure mais, bel et bien, que c'est ce dernier qui ressemble au monstre du Loch Ness, d'où l'illusion que Nessie est une créature réelle à part entière.

Dommage que le sensationnalisme du titre passe avant la rigueur scientifique de la nouvelle.

03 avril 2008

Le hasard ou la finalité?

Je suis en train de lire un article de la revue Science et Vie du mois de décembre 2007. On y parle du retour en force de l'idéologie créationniste en France. La France se croyait à l'abri de ce qui se passait aux États-Unis et dans une moindre mesure, au Canada et au Québec mais, ce n'est pas le cas. Il semble que la guerre qui se déroule en Irak depuis quelques années se répercute au niveau des idées en une guerre entre le christianisme et l'islamisme. Ce retour du créationnisme fait peur à beaucoup de monde. L'article de Science et Vie tente de s'expliquer la chose.

Il semble qu'une majorité d'individu ne comprenne pas la théorie de l'évolution de Darwin. Les gens la confondent en partie avec des idées qui avaient été véhiculées par une théorie précédente, soit celles d'un scientifique du nom de Lamarck qui a été le premier à évoquer l'idée d'évolution des espèces. Le problème avec sa théorie est qu'il considérait une finalité à l'évolution. L'évolution avait un but contrairement à la théorie de Darwin qui dit qu'il n'y a pas de but, que tout est dû au hasard en quelque sorte.

Lamarck prétendait entre autre que l'évolution permettait à un individu de s'adapter à son environnement et que c'est l'environnement qui dictait l'évolution d'un trait de caractère. Un exemple souvent repris est celui du cou de la girafe. Si pour une raison quelconque les arbres plus petits venaient à manquer dans la savane et qu'il n'en resterait que des plus hauts avec des feuilles difficiles à atteindre, un animal verrait son cou s'allonger avec les générations suivantes pour s'adapter à ce nouveau facteur limitant. Comme si les gènes réagissaient en réponse à une pression exercée par l'environnement.
Darwin nous apprend plutôt que c'est le hasard qui permettra l'adaptation à ces arbres plus grand puisque les gènes, grâce à des mutations qui se produisent au hasard, amènent une diversité chez les individus d'une même espèce. Certains auront des cous un peu plus courts et d'autres, un peu plus longs. Le fait que les arbres courts disparaissent entraînera donc un avantage pour les animaux qui ont un cou plus long, ce qui leur assurera une meilleur survie et donc, une meilleur transmission de leurs gènes à la génération suivante.

Encore aujourd'hui, plusieurs personnes continuent de croire que parce que l'humain est passé par le stade d'animal qui se promenait à 4 pattes, pour ensuite se lever debout et développer une intelligence supérieur, que c'est nécessairement l'indication qu'il y a une direction à suivre, une finalité, un but. Ce n'est pas le cas. C'est au gré des hasards des mutations dans les gènes que l'humain s'est construit pour devenir ce qu'il est maintenant. Pourtant, on entend souvent des phrases du genre "Les dents de sagesse, certains n'en ont plus parce que l'humain ne les utilisent plus!". Ce genre de raisonnement est erroné.

Les créationnistes ne veulent y croire car, ils refusent d'accepter que le hasard puisse construire des organes comme un œil ou bien, un cerveau. Comment le hasard pourrait-il créé quelque chose de beau ou de fonctionnel? Pourtant, lorsque je m'amuse dans Google Earth, à regarder les déserts africains, on peut y voir des milliers de dunes... Celles-ci forment des dessins que je pourrais considérer comme de magnifiques oeuvres d'art. Pourtant, ni le vent, ni le grain de sable, n'a décidé de souffler ou de tomber dans une direction ou une autre. ils suivent des lois de la physique et au gré des hasards, finissent par créer quelque chose que l'on considère comme beau. C'est, à mon avis, la même chose qui se produit avec la vie. L'œil humain n'était à l'origine qu'une simple cellule qui réagissait au photon de lumière. La reconnaissance par une cellule d'une source de lumière, a donc permis à l'individu qui la contenait (probablement une variété de bactérie) d'avoir un avantage sur les autres individus, d'où le fait que le trait a été sélectionné et est resté. D'autres mutations dans les gènes de ces cellules ont amené un perfectionnement de ce nouvel organe qui est devenu avec le temps, l'œil tel qu'on le connaît, avec diverses variantes, selon les espèces (l'œil d'un aigle et celui d'un poulpe ne sont pas identiques). Tranquillement, au cours de millions d'année, chaque atomes, chaque molécules, chaque cellules, comme chaque grains de sable d'une dune, s'est mis en place pour créer quelque chose de beau et de fonctionnel mais, tout-à-fait grâce au hasard des mutations.

27 mars 2008

La science et les arts martiaux

Ça fait déjà un petit bout de temps, mais National Geographic avait fait une série de reportages sur les concepts scientifiques de arts martiaux. Étant moi-même passionné par le sujet, j’ai trouvé ces émissions très instructives.

« Fight Science » a donc passé en 2006 au National Geographic Channel, la description est faite sur ce site web : http://news.nationalgeographic.com/news/2006/08/060814-fight-science.html. On y apprend que dans ce laboratoire scientifique créé par National Geographic, un boxeur a donné un coup de poing offrant une force d’impact de 453.6 kg, ce qui serait l’équivalent à donner un coup de marteau en pleine figure à quelqu’un. On y expliquait toute la mécanique de multiplication des forces dans le corps pour pouvoir donner un coup de poing d’une telle puissance.

On a donc évalué la puissance et la vitesse de plusieurs techniques d’arts martiaux. On a aussi comparer des l’efficacité de certaines armes traditionnelles asiatiques, le katana reste décidément un incontournable! On a aussi mesuré la pression sous les pieds d’un spécialiste en ninjutsu pour voir comment il réussissait à se déplacer avec souplesse et équilibre sur des poteaux.

L’expérience que j’ai beaucoup aimée était celle de savoir si un humain pouvait frapper à la même vitesse qu’un serpent (un maître pouvait soit disant le faire), soit une vitesse de 2,5 à 3 m/sec, ce qui semble hors de la portée de tout être humain. Et bien vous savez quoi? (allez, je vous vends le punch), un spécialiste de wushu (arts martiaux chinois) a développé une vitesse de 12,2 m/sec!!! Soit 4 fois plus vite qu’un serpent!!!

Ces émissions ne sont pas accessibles à tout le monde malheureusement, mais de nombreux extraits sont disponibles sur YouTube. Voici d’ailleurs celui sur la vitesse du coup de poing versus le serpent :


Qu'est-ce que "Expelled" ?

Si vous suivez ce qui se passent un peu aux États-Unis, vous avez peut-être entendu parler du film "Expelled" qui sort bientôt. Il s'agit d'un documentaire, un peu à la manière des films de Michael Moore comme "Bowling for Columbine" ou "Fahrenheit 9/11" dont le sujet tourne autour de la théorie du dessein intelligent. Les auteurs du film partent en guerre contre "la grosse science" en voulant démontrer que les individus qui amènent des idées nouvelles sont souvent rejetées et exclues (d'où le nom, Expelled, du film).


À prime abord, on pourrait penser que la chose est possible et que c'est horrible mais, il faut comprendre que, les idées nouvelles dont on parle ici sont, les pseudo-théories qui sont en lien avec la foi religieuse en un être suprême. La principale théorie abordée est le dessein intelligent qui amène comme idée que la vie est trop complexe pour avoir évoluer par ses propres moyens et qu'il faut nécessairement que quelque chose d'autre, un créateur, soit en cause.

Le film a été présenté en avant première à divers endroits et ils semblent que les auteurs font quelques petites magouilles afin d'éviter que des scientifiques reconnus ou des athéistes assistent aux représentations, de peur d'être confronté à des questions qu'ils ne pourraient répondre. Les auteurs ont démontrés à de multiples reprises leur malhonnêteté afin de maquiller certains faits pour faire croire que leur film fait peur aux scientifiques de part les idées qu'il amène.

Si vous voulez en savoir plus sur le film et la controverse qu'il présente, vous pouvez aller visiter le site du film en cliquant le lien ci-dessus. Aux États-Unis, le National Centre for Science Education (NCSE) a créé un site qui s'appelle "Expelled Exposed", expressément pour lutter contre les inepties véhiculées par le film et qui rassemble les articles qui ont été écrit par la presse scientifique à ce sujet. Si vous allez lire les articles biaisés des auteurs du film, je vous conjure d'aller faire un tour sur le site de la NCSE afin d'avoir l'heure juste sur les divers sujets abordés par le film.